POUR LES PROCHES : Fabienne rentre de Belgique…
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Introduction
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Fabienne remonte plus souvent que moi, via Ryanair, en Belgique.
Ici elle y était retournée huit jours à l’occasion de l’anniversaire de sa fille.
Le mardi 31 janvier, je me suis donc levé tôt pour m’assurer que la maison était suffisament en ordre (je connais trop bien l’oeil critique de ma Très Chère et ma négligence masculine!).
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En route
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A 8 heures, j’ai rapidement traversé le lac légèrement agité par la tramontane.
Tout est étrangement désertique comparé à d’autres moments de l’année.
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J’ai rapidement atteint le bloc de garages privés des insulaires.
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La route
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A cette période de basse saison, il n’y a malheureusement plus de vols directs de Ryanair entre Charleroi-Brussel South et l’aéroport San Egidio voisin de Perugia, situé à 45 kilomètres de chez nous.
Il faut donc se rendre à l’aéroport Galileo Galilei de Pise, situé lui à 198 kilomètres.
Le contournement partiel de Florence est devenu plus aisé depuis sa mise à trois bandes il y a quelques mois.
Une trotte !
On suit l’autoroute jusque Florence Scandicci, puis la superstrada vers Pise.
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A l’aéroport
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Pas d’accident. Pas de brouillard. Pas de neige.
En deux heures, je suis donc sur place.
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Une heure à l’avance, c’est bien le moins que je puisse faire pour la Très Chère.
D’autant que son séjour en Belgique a été émaillé de nombreux incidents désagréables : perte d’un tuyau d’échappement, recul malencontreux dans un véhicule en quittant une place de parking, heurt de son visage avec le bord de son véhicule (trop petit et inhabituel pour elle), embouttisment d’un poteau sur un parking de grand magasin, fermeture inattentive du commerce de sa fille avec les clés dedans (appel nécessaire à un serrurier, explosion d’un robinet… et j’en passe !
Un peu la poisse, non !
J’étais donc impatient de lui offrir le réconfort aimant de ma présence (sic).
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Je n’avais plus qu’à ronger mon frein.
Comme toujours quand on attend, cela me parut fort long.
On se sent idiot devant une porte qui reste obstinément close et insensible à vos appels silencieux.
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Enfin la délivrance tant attendue, l’avion de la Très Chère a atterri !
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Je me suis immédiatement précipité à la barrière face à ces fichues portes prêt à photographier de moment divin de nos retrouvailles.
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Happy end
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Après de très, trop nombreuses minutes, j’ai enfin aperçu, dans le troupeau pressé des voyageurs le charmant minois de ma Très Chère !!!
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Enfin ! Elle est de retour !
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