Déconvenues à répétition et… consolations !
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Fiera dell’Antiquariato di Arezzo
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Introduction
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Le Rotary club de Perugia-Trasimeno, dont je fais désormais partie, organisait ce dimanche 1 avril une visite de la Foire des Antiquaires dans le centre historique d’Arezzo.
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La visite était prévue de 10 à 13 heures et devait être suivie d’un repas avec l’ensemble des participants.
Fabienne et moi nous nous y étions inscrits et nous faisions une joie de cette participation.
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Les ratages successifs
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Première déconvenue
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Arrivé au port de Tuoro-Navaccia, nous constatâmes un afflux incroyable de pêcheurs.
De nombreuses scènes méritaient d’être photographiées.
Mais au moment de pousser sur le déclencheur, je dus bien constater que j’avais oublié de remettre dans mon appareil la pile que j’avais prudemment pensé à recharger la nuit précédente en vue de cette visite.
J’étais donc condamné à trimbaler inutilement appareil photo et sac à dos avec les objectifs et accessoires !
Cela commençait bien !
Mais c’est alors que je me suis rappelé que mon téléphone comportait un appareil photo, jamais utilisé jusqu’à ce jour !
Et toutes les photos de ce billet ont été réalisées avec lui…
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Deuxième déconvenue
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Notre guide conseillait de choisir le parking Pietri, gratuit et doté d’escalators.
Ce parking s’est révélé fort vaste et nous n’y avons pas trouvé les escalators tant espérés.
Du coup un périple plus long que prévu dans des rues qui avaient la fâcheuse tendance à toujours se révéler assez raides.
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Troisième déconvenue
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Nous sommes donc arrivés avec quelque retard au rendez-vous fixé sur la Piazza Grande, sous les “Logge di Vasari ».
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Nous y sommes restés une bonne demi-heure, à hauteur de l’enseigne du restaurant “Logge Vasari ».
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En vain.
Pas de rotariens en vue.
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Première consolation
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Nous avons alors décidé de déambuler dans cette Foire qui débordait dans le méandre des rues du centre historique d’Arezzo.
Nous ne l’avons pas regretté.
Le spectacle était partout et les tentations innombrables.
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Fabienne s’est laissée tenter par une très mignonne petite boîte orientale à médicaments, sculptée dans un os.
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Elle y a aussi déniché, à un prix des plus raisonnables, un objet qu’elle cherchait depuis longtemps : une grande cage blanche à oiseaux destinée à accueillir des géraniums.
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Moi, c’est bien sûr un livre qui m’a séduit : “World History of Photography” !
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Quatrième déconvenue
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N’ayant pas imaginé de ne pas trouver nos amis rotariens au rendez-vous fixé, ni Fabienne, ni moi, n’avions mémorisé le nom et l’adresse du restaurant où nous devions tous prendre un repas en commun.
Et comme au cours de nos déambulations dans les diverses rues, nous n’avions pas eu la chance d’apercevoir l’un ou l’autre ami rotarien, nous dûmes renoncer définitivement à nous joindre à eux.
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Deuxième consolation
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En dernier ressort, nous avons alors décidé de manger au restaurant le plus proche du point de rendez-vous, le ristorante “Logge Vasari ».
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Nous n’avons pas été déçus.
Le ratage de la réunion avec nos amis rotariens et l’absence de leur compagnie furent atténués par un repas de très haute qualité dans un cadre raffiné.
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Conclusion
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Malgré nos déconvenues à répétition et l’échec de ce moment d’amitié rotarienne, la journée ne fut pas un échec complet, loin s’en faut.
Merci à nos amis rotariens de nous avoir fait connaître cet événement que nous aurions bien sûr préféré partager avec eux !
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