Notre verger à l’Isola Maggiore…
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Per i nostri amici italiani
Un anno dopo che abbiamo cominciato a vivere nella nostra nuova casa, all’Isola Maggiore, mia moglie ha deciso di creare un frutteto…
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Introduction
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Nous avons signé l’acte notarié d’achat de la maison de l’Isola Maggiore le 30 octobre 2008 (voir article).
Le 4 janvier 2009, nous y avons emménagé définitivement (voir article).
A cette époque, la pelouse le long de la façade latérale de la maison était occupée uniquement par un auvent de jardin couvert de feuillage.
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Cette formule ne nous emballait pas, mais, à ce moment, nous avions bien d’autres priorités avec les travaux d’aménagement de la maison elle-même.
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Février 2010
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A cette date, nous étions sortis du gros des travaux et Fabienne décida alors de prendre le taureau par les cornes.
Son choix de transformation (et donc le mien…) était arrêté: elle allait remplacer cette structure par un verger.
Avec ma Très Chère, aussitôt dit, aussitôt fait.
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Implantation au 10 mai 2012
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Voici donc la situation à ce jour !
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Entre février 2010 et mai 2012
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Pertes
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Nous avons perdu un des deux mandariniers achetés au début.
Le pamplemoussier est à l’agonie, s’il n’est pas déjà mort.
Fabienne l’a mis aux « soins intensifs » dans un grand pot.
Elle pense tenter encore une dernière taille.
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Bananier et citronnier
La vague de foid exceptionnelle de février 2012
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Nous avons connu cet hiver, en février 2012, une vague de froid exceptionnelle pour la région.
Nous avions heureusement procédé à des mesures préventives de protection maximale pour le citronnier et pour le bananier.
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Le résultat au niveau de l’évolution de notre bananier est spectaculaire et mérite d’être montré.
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Il a visiblement « repris force et vigueur ».
Comme l’achat de cette plante résulte d’un de mes petits caprices, je suis ravi de sa robustesse même si je commence à désespérer de manger un jour une de ses bananes.
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Le pommier
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Acheté pour remplacer le mandarinier qui avait péri, il est malheureusement malade.
Attendons donc le résultat du traitement de Fabienne.
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Le mandarinier survivant
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Il reste désespérément chétif.
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L’oranger
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Depuis notre arrivée, Fabienne est quelque peu jalouse des belles oranges de notre voisin, il signore Umberto Chiappafreddo.
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Et en plus, Fabienne et moi, nous sommes vraiment de gros consommateurs d’oranges.
Fabienne a donc profité du départ forcé du pamplemoussier pour tenter d’implanter un oranger dans le verger.
Pour se donner toutes les chances de réussite et afin d’avoir assez rapidement des fruits, elle a acheté une jeune arbuste déjà conséquent.
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Cela m’a d’ailleurs valu de faire le trajet de retour sur le siège arrière, coincé entre la portière, et l’arbuste, lui, étalé comme un pacha et bénéficiant même d’une ceinture de sécurité !
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Amandier, figuier, pêcher
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Là, rien à redire.
C’est la qualité et l’abondance !
Voyez la première photo de cet article…
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Conclusion
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Tel qu’il est le verger nous apporte déjà de réelles satisfactions gustatives.
Nous espérons qu’arrivé à l’état adulte, il deviendra un endroit délicieusement ombragé et luxuriant.
Je me rêve déjà allongé sur un hamac tendu entre deux arbres, lisant un bon livre, et n’ayant qu’à tendre la main pour me rafrachir d’une belle figue onctueuse…
On peut rêver, non !
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J’espère que cela vous donnera envie d’y venir un jour, Martine…
Vous y êtes tojours invitée.
Et ca donnera un très joli jardin, que tous les habitants d’apart’ comme moi vous envierons. C’est un climat magnifique pour faire pousser tout ça…