Alfred de Musset et la lumière d’Italie
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« … qu’importent les colères passagères et les disputes d’un jour, le ciel d’Italie ne garde pas longtemps les nuages qui le peuvent obscurcir.
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Déjà, notre Musset célébrait, avec émotion, ce
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( Tu l’as vu ce) … ciel enchanté
Qui montre avec tant de clarté
Le grand mystère;
Si pur, qu’un soupir monte à Dieu
Plus librement qu’en aucun lieu
Qui soit sur terre.
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L’horizon se lavera donc bientôt, je le souhaite, des nuées dont on l’a peut-être volontairement chargé, et nous retrouverons, à visiter les peuples d’Italie, la joie sereine d’autrefois.»
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Tiré de la préface du livre de Dominique Durandy,
« Poussières d’Italie », carnet d’un automobiliste,
Paris, 1914.
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