Il Campo del Sole (3) : après l’étrangeté du brouillard, place à celle de l’infrarouge !
.
.
Il Campo del Sole (3)
Dopo la stranezza dalla nebbia,
posto a quella dell’infrarosso!
.
.
.
.
.
Per i nostri amici italiani
.
Ieri, ho presentato l’alone di mistero che la nebbia a volte diffonde sul Campo del Sole.
.
Oggi, ne propongo una vista onirica ottenuta attraverso la magia della fotografia infrarossa.
.
Decisamente, la fotografia a infrarossi consente di esplorare altre sfaccettature di una realtà.
.
Nel caso di specie, mi ha aiutato a percepire meglio il vero matrimonio, l’armonia tra le colonne/sculture e il loro scrigno vegetale.
.
.
.
.
.
.
Introduction
.
Hier, j’ai présenté l’aura de mystère dont le brouillard nimbe parfois le Campo del Sole.
.
Aujourd’hui, je vous en propose une vue onirique obtenue grâce à la magie de la photographie infrarouge.
.
.
.
.
.
Petit rappel
.
Si vous souhaitez plus d’informations sur l’importance du brouillard au lac Trasimène et son impact sur la navigation, consultez la série d’articles ci-dessous :
.
- FR – BROUILLARD ET TRASIMENE : 11 articles.
.
.
Si vous souhaitez plus d’informations sur la technique de la photographie infrarouge, consultez les articles ci-dessous :
.
- Bases de la photographie infrarouge : Vision fantasque de l’Isola Maggiore et du Trasimène I : 14/07/2014
- La magie de l’infrarouge : Vision onirique de la rive boisée à Tuoro… (1) : 17/02/2015
- Essai de variation dans la post-production : Un autre essai de « fausses couleurs » pour photos infrarouge : 22/02/2015
- Nouvel essai de post-production de photos IR : château Guglielmi et Isola Minore : 25/03/2015
.
.
.
.
.
Les photos
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
Cliquez ci-dessous pour la suite – Clicca sotto per il seguito – Click below to continue
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
Conclusion
.
Décidément, la photographie infrarouge permet d’explorer d’autres facettes d’une réalité.
.
Dans le cas présent, cela m’a aidé à mieux percevoir le véritable mariage, l’harmonie entre les colonnes/sculptures et leur écrin végétal.
.
.
.
.