Arabesques hivernales…
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Promeneur flegmatique,
mais… toujours aux aguets à l’Isola Maggiore
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Arabeschi invernali
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Passeggiatore ozioso,
ma… sempre in agguato
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Per i nostri amici italiani
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Metà novembre 2016, avevo approfittato delle mie frequenti passeggiate per cercare di prendere foto permettendo di afferrare una parte di questa bellezza trascurata durante questa stagione :
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- Splendeurs négligées de l’automne (I) : le Revuenon 50mm, f/1,4
- Splendeurs négligées de l’automne (II) : le Mitakon Zhongyi 50mm, f/0,95
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Sei settimane più tardi, a fine dicembre 2016, dopo che il generale Inverno abbia lanciato i suoi primi assalti, ho reiterato l’esperienza cercando di evidenziare altre forme di bellezza, propri a questo momento particolare del ciclo della natura (indigenza, spoglio, etc.).
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E le foto qui sotto mostrano che l’austerità vegetale dell’inverno è di fatto una bella opportunità per cambiare il nostro sguardo, per ritagliare in altro modo i paesaggi che ci circondano.
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Introduction
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Les touristes envahissent l’ Isola Maggiore durant la belle saison.
Les pauvres, ils croient ainsi la connaître !
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En fait l’ Isola Maggiore est une maîtresse exigeante et il faut la parcourir de façon répétée, et en toutes saisons, pour qu’elle nous livre tous ses trésors cachés.
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A la mi-novembre 2016, j’ai profité de mes fréquentes promenades pour tenter de réaliser des photos permettant de saisir une partie de cette beauté négligée :
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- Splendeurs négligées de l’automne (I) : le Revuenon 50mm, f/1,4
- Splendeurs négligées de l’automne (II) : le Mitakon Zhongyi 50mm, f/0,95
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Six semaines plus tard, à la fin décembre, après que le général Hiver ait lancé ses premiers assauts, j’ai réitéré l’expérience en cherchant à mettre en évidence d’autres formes de beauté, propres à ce moment particulier du cycle de la nature (dénuement, dépouillement, etc.).
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Plantons le décor…
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En hiver, la nature végétale abandonne ses parures colorées et envoûtantes, retourne à l’essentiel, dévoile sa structure austère, son ossature, sa texture…
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Hiver
Anna de Noailles
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– Bois feuillus qui, pendant l’été,
Au chaud des feuilles cotonneuses
Avez connu les voluptés
Et les cris des huppes chanteuses,Vous qui, dans la douce saison,
Respiriez la senteur des gommes,
Vous frissonnez à l’horizon
Avec des gestes qu’ont les hommes.Vous êtes las, vous êtes nus,
Plus rien dans l’air ne vous protège,
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Source : http://www.poetica.fr/poeme-1515/anna-de-noailles-hiver/
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Les photos
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Conclusion
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La Beauté est par essence diverse.
Elle dépend aussi du regard posé sur l’objet.
Le regard extrait, réorganise.
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Et l’austérité végétale de l’hiver est une superbe occasion pour changer et ré-orienter notre regard, pour découper autrement les paysages qui nous entourent.
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