Le Blog de Fabienne et Jean Wilmotte

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Quelques iris de Fabienne dans un parterre “panaché” de notre jardin à l’Isola Maggiore.

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 Ne pas oublier de cliquer sur les images suivantes pour les agrandir !

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Per i nostri amici italiani

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Questo articolo presenta il Giaggiolo il cui abbiamo quest’anno diversi esemplari nel nostro giardino.

Sono indicati l’origine del suo nome, il suo posto nella mitologia greca, la sua usuale rappresentazione pittorica e il suo utilizzo nella tabella intitolata « La Primavera »  di Sandro Botticelli (1482).

Infine alcune macrofotografie sono attaccate.

Questa serie di macro fotografie sarà completata nell’articolo di domani.

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Introduction

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Ces dernières semaines, notre jardin a brillé des mille feux des différentes variétés d’iris plantées par Fabienne.

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Quelques iris dans un parterre de Fabienne…

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C’est l’occasion de partager avec vous cette beauté éphémère.

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L’iris

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Un iris.

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Le genre Iris renferme 210 espèces et d’innombrables variétés horticoles.

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Un autre iris de notre jardin…

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.Dans Wikipedia, on trouve les renseignements suivants concernant cette superbe fleur :

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Le mot « iris » est un emprunt médiéval au latiniris.

Iridis, lui-même, est emprunté au grec Iris ( ιρις ).

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Iris entre deux Silènes (satyres) – Vase à boire (scyphos) grec.

Origine :  http://www.cosmovisions.com/$Iris.htm

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Iridos désignait la messagère des dieux, « messagère aussi prompte que les vents » (Iliade, chant XVIII), personnification de l’arc-en-ciel.

Le terme a d’ailleurs longtemps été employé pour désigner l’arc-en-ciel.

On le trouve associé à la fleur à partir du XIII^ème siècle, en raison de la coloration de ses pétales, aux reflets irisés

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Arc-en-ciel sur le lac Trasimène.

Source :  http://mohawkwordpress.wordpress.com/2012/12/page/2/

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Iris dans la mythologie grecque

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Toujours dans Wikipedia, nous trouvons les informations suivantes sur Iris :

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Dans la mythologie grecque, Iris était la fille de Thaumas (divinité marine primordiale) et de l’Océanide (nymphe aquatique) Électre.

Elle était la messagère des dieux, et principalement d’ Héra (Junon chez les romains), comme Hermès (Mercure chez les romains)  était le messager de Zeus (Jupiter chez les romains).

Dans l’Iliade d’ Homère, elle est la messagère de tous les dieux éternels.

Thaumas étant fils de Gaïa (la Terre), Iris, à cause de son origine, doit être considérée comme aussi antique que les plus anciens dieux.

Toujours assise auprès du Trône d’ Héra, elle est prête à exécuter ses ordres….

Héra avait pour elle une affection sans bornes, parce qu’elle ne lui apportait jamais que de bonnes nouvelles.

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Représentation moderne du mythe d’Iris.

http://penseecreatrice.over-blog.com/article-25550448.html

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On la représente sous la figure d’une gracieuse jeune fille, avec des ailes brillantes de toutes les couleurs réunies.

Les poètes prétendaient que l’arc-en-ciel était la trace du pied d’ Iris descendant rapidement de l’ Olympe vers la terre pour porter un message;

c’est pourquoi on la représente le plus souvent avec un arc-en-ciel.

D’autres font de l’arc-en-ciel son écharpe.

Ce phénomène céleste se désigne aussi poétiquement par le nom d’ écharpe d’Iris.

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L’iris, messagère du printemps…

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Ce titre, je l’ai découvert sur le blog de Rosemar, accompagné d’un très beau texte dont voici un extrait, le dernier paragraphe :

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Voilà bien une fleur divine qui fait songer à une déesse.

Elle annonce le printemps, symbole  d’espoir, de renouveau.

Telle la messsagère Iris, elle est porteuse de bonnes nouvelles : soleil, chaleur, douceur du climat, oubli des rigueurs de l’hiver, renouveau de la nature : un message de bonheur attendu par tous…

Quand l’iris fleurit, l’espoir renaît, c’est un arc en ciel de couleurs qui apparaît …

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Sandro Botticelli, “Le Printemps”, 1482 – Galerie des Offices.

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S’il y a bien une oeuvre artistique qui a représenté avec succès ce retour de l’espoir après les rigueurs de l’hiver, c’est bien le tableau (tempera sur bois) «Le Printemps » de Sandro Botticelli.

Outre les figures allégoriques, les orangers fleuris et les fleurs qui parsèment le sol ne laissent aucun doute : nous sommes au printemps et même plus précisément au mois de mai !

Et les iris, situés en bas à droite du tableau, complètent cette datation saisonnière.

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Les Iris, dans le coin inférieur droit de l’oeuvre de Botticelli.

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Quelques macrophotographies

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