EN SE PROMENANT
Poesia : “Sempre” di Valeria Croci
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Due poemi (1 & 2) di questa autotrice sono già stati pubblicati sul nostro BLOG.
Quindi oggi non vi ripresentiamo più questa poetessa.
Se volete saperne di più, basta cliccare qui.
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Questa poesia evoca una camminata pensierosa sull’Isola Maggiore deserta.
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SEMPRE
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Cammino per l’isola deserta
sotto la luce scialba dei lampioni
sfogliando il tempo
tra pagine di pietra.
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Scorrono immagini di ieri
nella terra dove nulla si disperde
dove ogni consunta soglia
racconta al forestiero
vicende umane d’intimo vissuto
ed ogni casa vuota
piange d’abbandono
ma non d’oblio.
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Ascolto il suono delle vostre voci
frammisto al canto dell’acqua
che giunge cadenzato dalle rive
e so, Isolani, che le vecchie mura
racconteranno della vostra vita
nelle umide sere dell’inverno,
tra la folla festante sotto il sole,
nelle malinconie fruscianti dell’autunno,
tra le abbaglianti luci dei mattini.
Sempre.
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Per leggere la seguente poesia, clicca qui.
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Pleine lune sur le lac Trasimène (Ombrie, Italie)
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Il y a longtemps que je souhaitais tenter quelques photos lors de la pleine lune au lac Trasimène.
J’avais donc repéré la date de celle-ci au cours de ce mois d’octobre 2011.
Bénéficiant d’une nuit sans nuage, j’en ai profité pour m’essayer à ce type de photos.
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Personnellement je ne suis pas ravi, ravi des photos que j’ai prises.
J’ai visiblement encore pas mal à apprendre à cet égard.!
Néanmoins, je vous joins deux photos prises à l’aube, depuis l’extrémité de notre jardin à l’Isola Maggiore.
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Tous les conseils techniques de votre part seront les bienvenus !
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DA LEGGERE : “Immagini ed echi di una terra senza tempo”
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Valeria Croci
Immagini ed echi di una terra senza tempo
Isola Maggiore sul Trasimeno
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Questo libro permette di immergersi
nel respiro di vita propria all’Isola Maggiore !
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Poesia : “Effimere” di Valeriana Croci
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Un primo poema di questa autotrice è stato pubblicato giovedì scorso.
Quindi oggi non vi ripresentiamo più questa poetessa.
Se volete saperne di più, basta cliccare qui.
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Questa seconda poesia evoca anche l’ Isola Maggiore e le sue notti.
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EFFIMERE
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Il buio affonda nel lago
il rumore di una barca lontana.
Fili viscosi di tele sottili,
tessute da invisibili ragni
tra siepi opposte del viale,
destano al contatto brividi fugaci.
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Cupo il silenzio avvolge il paese
nella notte senza luna.
Tenue luci vegliano sulle sponde
immagini d’ombra e ricordi assopiti.
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Non spegnerti così Isola,
piccola lucerna senz’olio
non lasciarti morire
come fiore reciso e abbandonato.
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Sotto l’arco di mattoni
intorno alla lampada
danzano le effimere ronzando,
inesauribile gomitolo vivente
groviglio di ineluttabili perché.
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Settembre 2004
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Roberta Scarpocchi, figlia di Valeriana Croci, mi ha fatto sapere che sua madre aveva anche pubblicato un secundo libro :
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«Immagini ed echi di una terra senza tempo»
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Per leggere la seguente poesia, clicca qui.
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L’arrivée de l’automne…
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Septembre…
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Il y a un bon mois, j’avais décrit une certaine nostalgie face aux signes qui proclamaient le déclin de l’été.
Néanmoins, depuis lors, l’île avait continué à connaître une activité touristique certaine.
Bien sûr, les résidents présents seulement l’été n’étaient plus là.
Donc beaucoup moins de jeunesse sur l’île !
Donc moins d’animation aux heures où l’île redevient un village animé surtout par ses “habitants”.
Les journées de septembre sont restées dans l’ensemble très belles.
Toujours le même beau soleil, toujours le ciel bleu et lumineux, disparition de la canicule, une chaleur très agréable et tellement plus compatible avec des visites de lieux touristiques.
Un des mois de septembre les plus chauds connus par les anciens.
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Puis un tournant en épingle à cheveux…
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Poesia : “Il respiro dell’Isola” di Valeriana Croci
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IL RESPIRO DELL’ISOLA
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Solo, di notte sotto la tenda
ascolti battere il tuo cuore.
Cosa cerchi nell’isola
viandante della vita?
A piedi scalzi
sulle tracce di altri piedi
sposti i tuoi pensieri
e chiami il vento
antica ninna-nanna
di primordiale canto.
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Parti sulle “Ali d’argento”
della tua moto e torni
a cercare ancora
nel fragore del tuono
sotto il pazzo tamburo della pioggia
nell’aria rarefatta del mattino
nel sole cocente dell’estate
al sommesso sciacquio delle onde
una risposta alle tue domande
e il respiro dell’isola t’acquieta.
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Agosto 2004
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Prendre le traghetto pour l’Isola Maggiore : récit de Riccardo FINELLI
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Introduction
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Le 22 mai 2011, j’ai présenté dans ce blog un livre italien très original de Riccardo FINELLI qui présentait 11 îles italiennes minuscules dont seule l’Isola Maggiore n’est pas située en mer.
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Vous trouverez la liste de ces îles dans l’article précité.
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Cet auteur a eu la gentillesse de me permettre de publier quelques traductions d’extraits concernant l’Isola Maggiore.
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J’ai déjà utilisé cette permission dans un article traitant du vécu de la jeunesse d’autrefois sur l’Isola Maggiore.
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Cette fois, j’ai décidé de vous présenter l’introduction du chapitre qui traite de l’Isola Maggiore.
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Il s’agit de la prise du traghetto pour rejoindre l’Isola Maggiore et de la rencontre avec le personnel qui les dessert.
J’ai trouvé qu’il reflétait si bien l’ambiance de l’Isola Maggiore qui, de fait, vous envoûte dès que vous attendez le “traghetto” au bout du ponton de Tuoro-Navaccia, et donc bien avant de débarquer sur notre île.
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Description illustrée de Riccardo Finelli :
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Le second traghetto (ferry) de la journée, le 9 heures 40, n’accueille que deux passagers.
Moi et Flora, une dame de 75 ans, très gaillarde, habitante de Tuoro.
Elle va réouvrir la maison familiale sur l’île.
Elle est accueillie par la jeune fille de la billetterie avec la sollicitude réservée à une vieille parente.
L’île ?
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Omar Khayyâm : “rayon de lune”
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Bref quatrain extrait du “Rubayat”
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Le clair rayon de la lune
fend la robe de la nuit;
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Bois, heure plus opportune
ne se peut que celle-ci.
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Prends ton plaisir sans souci :
cet astre qui nous éclaire
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Déversera sa lumière
sur nos tombeaux bien des nuits !
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Hymne au soleil du pharaon Amenophis IV-Akhenaton
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Hymne au soleil
( Aton )
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Tu apparais bellement dans l’horizon du ciel,
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Ô Aton vivant, initiateur de vie.
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