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13 février 2016

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Ritorno all’Isola Maggiore su « l’ Agilla I » 

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sotto la pioggia…

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Retour de courses, Fabienne s’emmitoufle comme elle peut, tout en protégeant Charley (le chien de Stéphanie).

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Per i nostri amici italiani

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Il tema del passaggio tra l’Isola Maggiore e Tuoro Navaccia è già stato abbordato ripetutamente sul nostro blog, spesso per illustrare diverse condizioni meteorologiche. 

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Cliccando sui titoli blu nell’introduzione in francese, vi sarà possibile di accedere direttamente a questi articoli diversi.

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Infatti, anche se le foto allegate non siano di alta qualità, ma nel suo insieme sembravano riflettere correttamente  l’impressione di isolamento, di solitudine e anzi di esilio che gli isolani conoscono durante il periodo invernale.

Una sensazione di essere  un po’  “solo alla fine del mondo“!

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Introduction

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Le thème de la traversée entre l’ Isola Maggiore et l’embarcadère de Tuoro-Navaccia a déjà été abordé à plusieurs reprises sur notre blog, en illustrant souvent des conditions météorologiques variées.

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• Traversée sur le Trasimène en furie :  14/11/2004
• Une traversée agitée et glaciale  :  5/02/2012
• Une arrivée agitée à l’Isola Maggiore : houle sur le lac Trasimène !   24/02/2013
• Le brouillard redevient maître du Trasimène (1) : traversée aller  –  21/12/2015
• Le brouillard redevient maître du Trasimène (2) : traversée de retour  –  22/12/2015
• Traversée du lac par temps clair… quelle différence !  –  17/01/2016
• Traversée virtuelle sur le Perugia :  26/01/2016

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Alors, pourriez-vous dire, pourquoi un nouvel article sur le même thème ?

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En fait, même si les photos jointes sont loin d’être de grande qualité, mais l’ensemble m’a paru refléter correctement l’impression d’isolement, de solitude, voire d’exil que ressentent les “isolani” pendant la période hivernale.

On se sent un peu “seul au bout du monde” !

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Photos de cette traversée

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L’attente

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Dans le froid, le glacial et la pluie, Fabienne guette impatiemment l’arrivée du traghetto libérateur.

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Ouf, le traghetto est en approche !

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Après son dernier virage, il se prépare à l’accostage au débarcadère de Tuoro-Navaccia.
Quel soulagement !
Deux à trois minutes encore, et nous serons enfin abrités !

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L’embarquement tant attendu !

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La passerelle d’embarquement est bien désertique !

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L’accueil de l’équipage, tout aussi emmitoufflé, est chaleureux et souriant comme à l’accoutumée!
En fait, il règne un sentiment d’appartenance commune entre “isolani” et équipages des traghetti.

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Guiseppina Tattanelli, notre charmante accompagnatrice du jour.

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